GAY CANT: Soizic échappe de peu à Ulrick, le violeur en série, révélé par une écriture manuscrite…

Demain nous appartient en avance : Soizic échappe de peu à Ulrick, le violeur en série

La tension monte, et Soizic se retrouve au cœur d’un véritable cauchemar. Alors que Mickaël l’interroge, la gynécologue est accablée : l’écriture retrouvée sur les ordonnances est bien la sienne. Mais face à cette révélation, elle nie avoir perdu le moindre ordonnancier. Le policier, désireux de comprendre l’ampleur du danger, s’intéresse alors aux hommes de l’entourage de ses patientes. Soizic, de plus en plus nerveuse, s’effondre intérieurement en découvrant une vérité glaçante : elle pourrait être la prochaine victime du violeur en série qui sévit dans la région.

Malgré la menace qui pèse sur elle, Soizic refuse catégoriquement la protection policière qui lui est offerte, une décision qui déchire François, son mari, mais aussi Roxane, sa collègue et amie. À l’hôpital, cette dernière doit faire face à une situation effrayante : tous les maris des patientes de Soizic sont désormais des suspects potentiels. C’est dans cette atmosphère de suspicion qu’elle se rend au commissariat, sous le poids d’une angoisse grandissante.

De son côté, Joël, un homme ordinaire en apparence, s’aventure dans le magasin d’Ulrick, le propriétaire de la boutique de modélisme. Là, il fait une rencontre troublante. Alors qu’Ulrick parle de Mona, Joël remarque une phrase, lancée sur le ton de la plaisanterie mais qui laisse une étrange sensation de malaise : une remarque misogyne qui, bien que passée inaperçue par le compagnon de la cuisinière du Spoon, n’est pas sans signification. L’atmosphère devient de plus en plus lourde, chaque détail semble maintenant être un indice caché.

Le soir tombe et Soizic, déterminée à continuer sa journée malgré la peur qui l’habite, se dirige vers sa voiture. Elle ignore que, dans l’ombre, l’agresseur l’attend, prêt à frapper. Un couteau soigneusement dissimulé dans un sac, fraîchement acheté dans le magasin de maquettes d’Ulrick, est désormais son unique arme. La tension est à son comble. Alors qu’il s’avance vers elle, prêt à la terrifier, un dernier espoir se profile : Mickaël surgit in extremis.

Il a pris la décision de protéger Soizic, enfin prête à accepter une surveillance policière, mais la situation est loin d’être résolue. L’agresseur, pris au piège, recule lentement, laissant derrière lui un sentiment d’imminence. Mais le plus effrayant reste à venir. Alors que Soizic, sous escorte, prend le chemin de la sortie, une silhouette dans l’ombre émerge enfin. Le visage du tueur se révèle, glaçant : c’est Ulrick, le patron du magasin de modélisme. Le cauchemar de Soizic n’a fait que commencer.

Les téléspectateurs, suspendus à chaque mouvement, savent désormais que rien n’est plus sûr. Le mystère se tisse, le danger rôde, et la vérité éclatera-t-elle avant qu’il ne soit trop tard ? L’horreur n’a pas dit son dernier mot.